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Pourquoi je vote Bayrou

11 mai 2012

Pourquoi je NE VOTE PLUS Bayrou

FB-FH

1) "Le programme de Hollande nous ménera à la faillite" a dit FB. Et il vote pour lui... c'est irresponsable.

2) Après avoir demandé de se prononcer en faveur d'un candidat pour le premier tour (et non faire un vote de rejet), il a voté contre Nicolas Sarkozy.

3) PRODUIRE en France et RÉDUIRE la dette sont le coeur de la solution pour redresser notre pays. Et ce sont des idées de droite. Et FB le sait bien.

4) Donc rester centriste pour ces 2 valeurs, bien évidemment. Mais je voterai pour le prochain leader qui dirigera le nouveau parti démocrate.

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8 mai 2012

Lettre à François Hollande, par Christophe Barbier

Sa légitimité est incontestable, mais il est tout aussi incontestable que si François Hollande a été élu, c'est d'abord parce que Nicolas Sarkozy a été battu. Ce qu'il fera de sa victoire dira quel président il est. 

la suite ici.

4 mai 2012

le vrai visage de Hollande

 voir la vidéo

3 mai 2012

Les journalistes à gauches?

journalistes

Comment vouliez-vous que les journalistes vantent équitablement les programmes de tous les candidats...

http://www.robertmenard.fr/2012/04/27/100-a-gauche/

3 mai 2012

VOTEZ SARKOZY

NS

Grâce à la présidence de Nicolas Sarkozy, l'austérité a pour l'instant été évitée en France.

L'équilibre "recettes / dépenses" est très fragile et risque d'exploser si la gauche venait à gagner les élections ce dimanche. En effet, l'augmentation des prestations sociales et le recours à l'emprunt pour tout et rien menacerait considérablement les finances de notre pays.

Seul un budget rigoureux nous sortira de l'ornière. 

Le projet de François Bayrou était de loin le meilleur, celui de Nicolas Sarkozy reste le meilleur des 2 qui nous sont proposés aujourd'hui.

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3 mai 2012

50.2%....

Electionscope : le modèle qui trouve Nicolas Sarkozy gagnant à 50,2%...

article complet.

27 avril 2012

Hollande «plutôt dangereux» selon The Economist

Si The Economist devait voter, il opterait pour Nicolas Sarkozy, mais «pas plus pour ses mérites que pour maintenir François Hollande à l'écart». L'hebdomadaire britannique critique avec virulence le candidat socialiste.

Après le «déni» de la France, The Economist replace l'élection présidentielle française à la Une. Il y a un mois, l'hebdomadaire économique britannique déplorait la «frivolité» de la campagne des candidats à l'élection présidentielle, qui a nié les problèmes graves de la France. Alors que le premier tour du scrutin a placé François Hollande en tête des votes face à Nicolas Sarkozy, The Economist illustre son penchant libéral et ne mâche pas ses mots à l'encontre du candidat socialiste.

En couverture, François Hollande est qualifié d'homme «plutôt dangereux» (...) pour la France et pour l'Europe. Il apparaît en petit, les yeux écarquillés, et partiellement caché par le drapeau français qu'il entrouvre. Dans son éditorial, le socialiste - largement pressenti pour gagner l'élection le 6 mai prochain - a, certes, raison de clamer que l'austérité et «la discipline budgétaire trop rigide voulue par l'Allemagne» empêche toute possibilité de croissance de la zone euro. Mais il est trop «hostile aux changements structurels». Or, selon la revue, qui consacre trois pages supplémentaires sur l'élection présidentielle française, l'Hexagone a besoin de réformes, aussi «douloureuses» soient-elles. S'il ne les mène pas, les marchés finiront parl'y contraindre, peut-on lire. Et s'il transmet à ses voisins européens sa volonté à stimuler la croissance avant de réduire les dépenses publiques et d'améliorer la compétitivité du Vieux Continent, la survie de l'euro est en jeu, estime encore The Economist.

L'hebdomadaire britannique qui rappelle avoir franchement soutenu Nicolas Sarkozy en 2007, félicite le président sortant d'avoir assoupli «les 35 heures des socialistes, libéré les universités, et relevé l'âge de la retraite». Selon le journal, Nicolas Sarkozy «a eu la malchance d'être frappé par la crise économique», mais il a progressivement adopté un ton plus «protectionniste, anti-immigrants, et anti-Europe (...) sûrement destiné aux électeurs de Marine Le Pen». Au final, s'il devait voter, The Economist opterait pour Nicolas Sarkozy, mais «pas plus pour ses mérites que pour maintenir François Hollande à l'écart».

25 avril 2012

L'esprit d'équipe de Hollande (à son propos)

Quand je pense qu'on a reproché à Bayrou de ne pas avoir d'équipe autour de lui.....

Martine Aubry  (futur Premier ministre ?) : “Couille molle, enfoiré, niveau zéro de la politique .” ( dans les couloirs du PS.Propos rapportés par l’Express”) . “A mon arrivée en 2008, le Parti était un champ de ruines. Je vais devoir déboucher les chiottes moi-même … On lui a confié le PS, il nous a rendu la SFIO…. Nous n’étions pas crédibles pour les Français…C’est un homme de coups, il n’est jamais  sur le fond. Sous Jospin, il n’était pas au gouvernement et ne se sentait pas au niveau “ 

Ségolène Royal (présidente de l’Assemblée Nationale ?) : “Quelqu’un peut me dire ce qu’il a fait pendant 30 ans ?  Son point faible, c’est l’inaction … Un président “normal” ? Pour postuler à la magistrature suprême, il faut au contraire des qualités anormales, exceptionnelles” . 

Arnaud Montebourg (Ministre de l’Industrie ?) :  “ Hollande, c’est Flamby ! “ .” Le principal défaut de Ségoléne, c’est Hollande, son compagnon “.”Je n’ai pas oublié qu’il a immobilisé le parti pendant dix ans. Comment peut-il aspirer à diriger la France ?”  (A propos de Manuel Valls, il a dit : ”Il n’a qu’un pas à faire pour aller à l’UMP, le camp de la bêtise)  

Laurent Fabius (A Matignon? Au Quai d’Orsay ?)  : ”A-t-on jamais caché un éléphant derrière une fraise des bois ? Franchement ,vous imaginez “Monsieur “Petite Blague” en président de la République ? On rêve “ 

Pierre Moscovici (directeur de campagne de Hollande, futur ministre) : ”Hollande, c’est le premier secrétaire qui a tout râté “ 

Manuel Valls (Intérieur ? Education Nationale ?) : ”Les vieilles idées des années 70 – les 35 heures, la retraite à 60 ans- ce n’est plus possible …Notre réponse ne peut pas être la dépense publique …Je suis favorable à une régle d’or “ 

Guillaume Bachelay (la plume de Laurent Fabius) : “ Chaque matin, il pense à la présidence en nous rasant “ 

Jean-Luc Mélenchon (votera Hollande au second tour) : “ Un capitaine de pédalo dans la saison des tempêtes ” .”Une attitude hautaine à l’égard de la gauche qui commence à être insupportable. S’il ne sait pas qu’il y a des communistes en France, je me demande comment il va s’y prendre pour les faire voter en sa faveur “ 

Eva Joly (Votera Hollande) : “ Le parti socialiste est du bois dont on fait les flûtes “ 

Cécile Duflot (ministre de l’Ecologie ?), à propos du programme de Hollande : ” Un bon vieux projet socialiste de relance sur la consommation “ 

Daniel Cohn- Bendit : ”Hollande se ségolénise “ 

25 avril 2012

Industrie: quel gâchis!

industrie

Parce qu'il n'aura pas su endiguer les destructions de postes et mettre un terme au creusement quasi continu du déficit commercial, le président sortant présente un bilan peu avantageux en matière industrielle. Mais celui de Jacques Chirac n'était pas plus brillant, loin s'en faut.

En période électorale, l’heure est toujours aux bilans. Dans le registre économique, le déclin de l’industrie française et l’impérative réindustrialisation furent dans la bouche de la quasi-totalité des candidats du premier tour. Des thèmes qui devraient  encore alimenter les débats jusqu’au 6 mai. Pour Nicolas Sarkozy, c’est évidemment avec un angle prospectif que le sujet devrait être évoqué. Les initiatives prises depuis 2007, telles que le doublement du crédit impôt recherche, les investissements réalisés dans le cadre du Grand emprunt, du Fonds stratégique d’investissement, la création des filières stratégiques, devraient, espère-t-il, porter leurs fruits lors du prochain quinquennat et permettre le redressement de l’industrie tricolore fortemement marquée par la crise. Il y a urgence : en 2008 et 2009, l’industrie a détruit au total 358.000 emplois, selon le Trésor.

Tous les coups sont permis dans le débat électoral

Même si le programme économique de François Hollande contient un certain nombre de mesures pour relancer l’industrie, communes d’ailleurs à celles mises en oeuvre par le gouvernement actuel (livret d’épargne industrie, banque de l’industrie..), le candidat socialiste devrait assez logiquement pointer du doigt le bilan de Nicolas Sarkozy en la matière. C’est de bonne guerre. Nicolas Sarkozy n’avance-t-il pas systématiquement le passage en 2000 aux 35 heures hebdomadaires pour expliquer le décrochage de l’économie française par rapport à ses concurrentes ? Un argument qui lui permet en partie de se dédouaner et de ne pas assumer le manque de résultats en la matière lors du quinquennat.

L'industrie a perdu sa place dans la hiérarchie gouvernementale

Mais les arguments avancés par les deux camps sont-ils convaincants ? Pas réellement. Pour deux raisons. La première : l’industrie ne fait plus réellement partie des préoccupations majeures des chefs de gouvernement depuis bien longtemps. Ainsi, entre 1997 et 2007, l'Industrie a été adjointe simplement au ministère de l’Économie et des Finances, par décision de Dominique Strauss-Kahn. Elle fut alors confiée à des ministres délégués ou à des secrétaires d’État dont la tâche consistait essentiellement à expédier les affaires courantes.
Et à partir de 2007 ? L’Industrie a été dans un premier temps détachée auprès du ministère de l'Écologie, du Développement et de l'Aménagement durables puis confiée à Luc Chatel en mars 2008 qui voyait alors sa fonction de secrétaire d'État, chargé de la Consommation et du Tourisme élargie. Il faudra attendre le 23 juin 2009 pour que l’industrie retrouve enfin une place significative avec la création d’un ministère délégué à l’industrie confié à Christian Estrosi. 
 

63% des destructions d’emplois  entre 2000 et 2007 liées à la concurrence internationale

Un véritable contrôle par l’Etat de la politique industrielle de la France aurait-il permis de limiter la casse pendant les années 2000 ? Peut-être, d'autant que c’est pendant cette période que l’offre française a commencé à souffrir de la montée en puissance des pays émergents. Un exemple : évaluée à moins de 1% en 1980, la part de marché de la Chine dans le commerce mondial avait bondi à 5,1% en 2002 selon une étude du CEPII. Elle s’élève aujourd’hui à 12%. Selon une étude du Trésor, 63% des destructions d’emplois observées entre 2000 et 2007 ont été le fait de la concurrence internationale.

Reste que les ministres de l’Industrie de plein droit en poste dans les années 80 et 90 – notamment Laurent Fabius en 1983, Alain Madelin en 1986, DSK en 1991, Gérard Longuet en 1993 - n’ont pas non plus fait des miracles. Ils n’ont pas su anticiper et prévenir le déclin du made in France, qui a commencé dès le début des années 80, pensant sans doute que les succès engrangés alors par l'automobile et l'aéronautique étaient éternels. Un déclin qui s’est traduit par une chute de l’emploi industriel depuis trois décennies. Celui-ci représentait 5,3 millions de personnes en 1980,  3,8 millions en 2002, 3,4 millions en 2007 et 3,3 millions aujourd’hui. 

Malgré l'absence de crise majeure, l'industrie a plus souffert lors du  quinquennat de Jacques Chirac

Un déclin qui s’est surtout accéléré lors du quinquennat de Jacques Chirac. Entre 2002 et 2007, le nombre d’exportateurs a chuté, passant de 107.000 à 98.000. Ils sont 95.000 aujourd’hui. Le taux de couverture des importations par les exportations a perdu 10,5 points, de 101% à 90,5 % entre 2002 et 2007 pour tomber à 86% en 2011.Sur la même période, le taux d’autofinancement des entreprises a reculé de près de 25 points, pour atteindre 60,8% en 2007. Il tutoie péniblement les 72% aujourd’hui. Quant à la balance commerciale, elle était excédentaire à hauteur de 2,6 milliards d’euros en 2002 et déficitaire de 52 milliards cinq ans plus tard….
Ce désintérêt apparent de l'éxécutif pour l'industrie n'explique bien évidemment pas tout. De nombreux éléments peuvent en effet être avancés pour expliquer la perte de vitesse du made in France qui s’est traduit par un déficit commercial de 69,6 milliards d’euros en 2011, record qui devrait selon toutes probabilités être battu dans un avenir proche. Parmi les éléments les plus couramment cités par les économistes et les organisations patronales, on peut citer le niveau élevé des prélèvements obligatoires, la rentabilité insuffisante des entreprises, les relations déséquilibrées entre fournisseurs et donneurs d’ordre, l’existence de seuils sociaux contraignants, … . Selon une étude dévoilée ce mardi par Eurostat, l’office européen des statistiques, le coût du travail a bondi de 39,2%, entre 2001 et 2011 pour s'établir à 34,2 euros par heure travaillée. A titre de comparaison, il n’a progressé que de 19,4% en Allemagne, le principal concurrent de la France en zone euro pour s’élever à 30,1 euros.

24 avril 2012

Qui suis-je?

FH

Mon père était un riche bourgeois (Médecin ORL, propriétaire de plusieurs cliniques) et il militait à l’extrême droite aux côtés de Maître Tixier-Vignancourt et pour l’OAS. J’ai passé mon enfance à Bois-Guillaume, ville résidentielle (sur les hauteurs de Rouen) où habitent les plus riches normands. Je fus élevé chez les « bourges du privé », que je critique constamment à « St Jean-Baptiste de la Salle à Rouen ». Puis j’ai continué mes études dans la commune des aristocrates et des grands-bourgeois : à NEUILLY SUR SEINE où mes parents avaient acheté une superbe propriété.

 Malgré ma fortune et mon patrimoine estimé à plus de 10 Millions d’Euros, je ne paie pas l’ISF car un montage ingénieux sous forme de plusieurs SCI me rend quasiment introuvable par le fisc français.

 A la fin des années 70, sortant de l’ENA je sens que la droite va perdre et que Mitterrand est sur la pente ascendante, pour assurer mon avenir je choisis alors de rejoindre le PS.

 Je n’ai jamais dirigé une grande ville.

 Je n’ai jamais dirigé une grande région.

 Je n’ai jamais été ministre ni secrétaire d’état.

 Je dirige malgré tout le département de la Corrèze qui est devenu grâce à moi en 4 ans le plus endetté de France (+ 25% de dette soit 3 fois plus que la moyenne nationale) et le seul où le nombre de fonctionnaires a augmenté de 50% dans le même temps (de 831 à 1231).

 Pour 2012 dans mon département, j’ai déjà fait voter une hausse de 6.5% de la taxe foncière, de 300% les taxes sur les permis de construire. J’ai supprimé : les bourses étudiantes, la gratuité des transports scolaires, les 1000 € de prime de garde d’enfants et diminué presque toutes les aides aux personnes âgées ou dépendantes.

 Je ne déjeune pas au Fouquet's, je vais dans un endroit plus discret mais encore plus chic où j'ai fêté ma récente victoire aux primaires socialistes et où dernièrement j'ai été l'invité d'un assez pauvre, Pierre BERGE. Ma cantine, c'est chez LAURENT dans le 8ème.

 J'envisage d'augmenter de 45 milliards d'euros les impôts et taxes en tout genre car c'est plus facile que de diminuer le nombre de fonctionnaires, je souhaite d'ailleurs en embaucher 65.000 de plus ...

 Ce qui coûtera 100 milliards à la FRANCE car un fonctionnaire est payé par l’état à vie, sécurité de l’emploi oblige!!!

 Je n’aime pas les riches qui gagnent plus de 4000 euros par mois mais j'en gagne 7,5 fois plus avec mes 30.387 € par mois !!! Donc 63% de plus que le Président de la République (19 331 € par mois) que j'accuse d'être proche des riches ...

 Je m’appelle………….

 François HOLLANDE

 Votez pour moi, je vous ruinerai en 5 ans. Le changement c’est maintenant

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